Si la question des déplacés climatiques s’inscrit dans une évidente actualité scientifique et sociétale, elle renvoie aussi à des traditions et croyances millénaristes enfouies au plus profond de chacun.
Plus encore en ces périodes de grèves SNCF, et surtout s’il s’agit de parler de mobilité et de transports, la tentation est grande de se concentrer sur les trains qui n’arrivent pas à l’heure.
Introduire un ensemble d’articles couvrant d’une manière aussi complète la diversité indienne est une tâche délicate.
L'évocation de l’Afrique autorise très souvent les mêmes commentaires : terre des laissés-pour-compte, tensions géopolitiques empêchant tout développement, élites corrompues et dirigeants politiques peu fréquentables, etc. Inutile de s’échiner à expliquer que ces poncifs sont, à bien des égards, éculés et que les parties francophone, anglophone, lusophone et arabophone du continent sont, en réalité, radicalement différentes.
Allez risquons-nous. Pourquoi ne pas demander au futur président de la République de faire du risque un principe constitutionnel ? Après tout, en 2004, Jacques Chirac avait bien intégré la Charte de l’environnement et le principe de précaution dans notre loi fondamentale. Affirmer, aujourd’hui, la vertu du risque en lui donnant une valeur constitutionnelle ne serait-ce pas un juste retour des choses ?
8 juin 1817 : les canuts lyonnais brisent les nouvelles machines à tisser qui menacent leur savoir-faire et leur emploi.
25 juin 2016 : les chauffeurs de taxi renversent les voitures des prestataires de la société Uber et dénoncent une concurrence qu’ils jugent déloyale.
Source de toute vie, espaces d’une extraordinaire beauté et d’une grande diversité, nos mers et nos océans ont, de tout temps, bercé nos croyances et éveillé nos rêves d’aventure les plus fous.
La croissance est une idée nouvelle pour l’humanité.
Une réalité nouvelle ! Elle a pris naissance en Occident au XIXe siècle, en résultat d’une révolution, qui n’était pourtant pas celle de 1789 en France. Elle a concerné au premier chef, en Angleterre d’abord, puis dans toute l’Europe, l’utilisation de l’énergie fossile. La machine à vapeur siffla, comme les locomotives d’alors, le début de l’ère nouvelle. Comme alors également, les esprits paralysés par leurs craintes et leurs préjugés s’opposent aujourd’hui au développement des énergies provenant de la fusion de l’atome ou de l’extraction du gaz de schiste.