La Covid-19 n’a pas eu d’effets importants sur les conflits armés en cours, la guerre entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan avec des milliers de morts de part et d’autre ayant même éclaté au plus fort de la crise sanitaire : 8 000 tués en quarante-quatre jours !
C’était une vraie gageure. Solliciter en un temps record, en plein confinement, les presque sept cents dirigeants politiques, diplomates, universitaires, scientifiques, chefs d’entreprise, responsables associatifs, qui avaient écrit pour France Forum au cours des six dernières années et leur demander de s’exprimer sur le monde de l’après-Covid-19.
Il n’aura pas échappé aux lecteurs nés au siècle passé l’emprunt du titre de ce numéro de France Forum à l’ouvrage majeur de John Kenneth Galbraith, Le Nouvel État industriel, paru aux États-unis, en 1967.
Le sport gouverne le monde. Cette idée est communément répandue et trouve encore plus d’acuité au moment des grandes manifestations sportives internationales. On l’a mesuré au moment des Jeux olympiques en Chine, plus récemment lors des JO d’hiver de Sotchi et de la Coupe du monde de football au Brésil, ou encore dans les débats sur la Coupe du monde de football, en 2018, en Russie et au Qatar, en 2022.
La Russie appartient à l’Europe. Par sa langue, sa religion, sa culture, ses mœurs, son histoire.
À plusieurs reprises, elle a souvent rendu d’éminents services à notre continent, au prix de son sang. Elle a nourri sa pensée, enrichi sa sensibilité. La Russie est nôtre.
Avant de juger cette nation, il faut voir de quelles épreuves elle est sortie – à peine –, quels traumatismes elle a subis par l’amputation de territoires cinq à six fois de la taille de la France et quel choc a représenté l’écroulement du système économique et social.
L'avenir de la communauté franco-africaine fait l'objet d'un débat entre Pierre-Henri Teitgen et Léopold Sédar Senghor.